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| CORRIDOR |
| Le passage, vers l’ici et le maintenant, vers
la fusion des contraires; devant et derrière la route;
l’itinéraire vers l' horizon à hauteur
des yeux, la profondeur du regard ce que je vois c' est moi en toi; ce
que je suis c'est toi en moi. Le corridor, passage entre corps et esprits consacrés, atteindre l’inconnu d’un troisième et d’un quatrième corps la mémoire du toucher; la nécessité (presence, present par le toucher) de l intention; l’accomplissement dans un au-delà transcendantal au terme d’une (de la) terrible nostalgie de soi-même. Le couloir, et la couleur qui d' un côté à l' autre guide le passage de la lumière,(se fusionnent a) pierre et main associés marquant les étapes (creant des poles fixes, dans les sens de points d'orientation) (dans l'univers inconscient , pour moi oppose a l'univers conscient)l' inconscient universel les chiffres fusionnent de 2, à 4, à 8; des chiffres de terre et de ciel l' intérieur du voyage entre poussière et métal son regard laser qui pulvérise les idoles et les idéologies d'autrefois peut finalement se contenter de lui-même, inversant les rôles envisagés. Atteindre(vouloir) l’inespérée liberté, et pour cela être ouvert et grand, malgré les nombreux obstacles identifiés, malgré les chemins de traverse (je voulais dire: les chemins qui sont facile a choisir, qui se presentent au premier regard, qui sont evident et par cela, ferment les chemins vers quelques chose plus profonde, inattendu, plus vrai; dans ce sens , les chemins faciles ); le cœur léger, libre (puisque ceci est un grand effort envers soi meme, mais qui emmene vers le detachements de tout, ce qui se presente comme legerte, et pour cela est un ideal et une necessite pour l'existence humain, je resterai avec la formulation premiere, si c'est grammaticalement juste...)). En faire un idéal, un besoin, une nécessité brûlante. La nécessité de chacun du souffle d’air suivant, de chaque instant de la vie. Attente. |